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1922 – LE PROPULSEUR A CHENILLES PERMET DE TOURNER ENCORE MIEUX QU’AVEC UNE AUTOMOBILE

Particulièrement sophistiqué, le propulseur à chenilles Kégresse-Hinstin adopté par Citroën sur ses autochenilles dispose d’un blocage de différentiel, d’un démultiplicateur à train baladeur et, surtout, est couplé à un dispositif spécial «commandé automatiquement par le volant» qui freine la chenille située à l’intérieur du virage. Il permet ainsi au vé- hicule de « virer dans un rayon beaucoup plus court qu’avec les voitures à roues ».

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